Saint-Valentin : le GHdC prend soin des couples

08/02/2019

Fête purement commerciale ou pas, la Saint-Valentin est en tout cas la fête des couples et pour beaucoup l’occasion de passer un moment privilégié à deux. « Voilà certainement ce qui manque réellement aux couples. L’idéal pour se sentir heureux dans son couple et dans sa sexualité serait de s’octroyer régulièrement des petits rendez-vous à deux pour s’obliger à se rencontrer. », explique Charlotte Leemans, sexologue clinicienne à la clinique de la sexualité du GHdC*. La clinique de la sexualité est là pour aider les couples à (re)trouver une vie sexuelle épanouissante et pour traiter des éventuelles dysfonctions sexuelles.

Une consultation en deux temps

Deux personnes chapeautent cette clinique de la sexualité. D’un côté, le Dr Marie-France Philippe, endocrino-diabétologue et de l’autre Charlotte Leemans, sexologue clinicienne. La première consultation se déroule en deux phases. Tout d’abord, la/le patient(e) rencontrera le Dr Philippe, qui élaborera avec la/le patient(e) un bilan médical (et hormonal si nécessaire) complet pour éventuellement identifier une cause. Ensuite, elle/il sera vu par Charlotte Leemans qui assurera le suivi sexologique, psychologique et au besoin la thérapie de couple.

Une équipe pluridisciplinaire

Les plaintes sexuelles sont accueillies avec une écoute appropriée, du respect et du professionnalisme. Parce que les dysfonctions sexuelles relèvent rarement d’une seule spécialité, la clinique de la sexualité propose une approche multidisciplinaire avec, si nécessaire, un trajet de soins déterminé afin d’aider les patients à améliorer la qualité de leur vie sexuelle. La clinique de la sexualité est le fruit d’une collaboration entre les différentes disciplines qui sont impliquées telle que la gynécologie, l’urologie ou la psychiatrie. Mais la clinique de la sexualité travaille également en partenariat avec des services dans lesquels les demandes sont plus fréquentes, comme par exemple la cardiologie, la neurologie ou l’oncologie. Il est, par exemple, à présent établi qu’en cas de traitement pour le cancer, la majorité des patients vont avoir une perturbation dans leur sexualité ou une exacerbation de troubles déjà préexistants.

 

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* détentrice d'un master en sciences de la famille et de la sexualité et thérapeute de couple

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