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Les tumeurs cérébrales sont les tumeurs qui se développent à l’intérieur du crâne dans n’importe quelle zone du cerveau : les hémisphères, le cervelet, le tronc cérébral, l’hypophyse, etc. Les tumeurs médullaires se développent au niveau de la moelle épinière. Le Grand Hôpital de Charleroi propose une prise en charge globale et pluridisciplinaire de ces tumeurs cérébrales et médullaires, bénignes et malignes et des glioblastomes en particulier.

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La réalité virtuelle ne se limite plus aux divertissements. Le champ des possibles de ce nouvel outil est énorme et trouve désormais toute sa place dans le domaine de la médecine, notamment en médecine physique. La bonne nouvelle est que cette technologie est maintenant disponible au sein de nos centres de rééducation.
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Ce 10 juin, les Dr Natacha Terlinden et Laura Rousseaux, ORL au Grand Hôpital de Charleroi réalisaient la première intervention ORL au robot Da Vinci pour une exérèse de base de langue (amygdale linguale ) chez un patient qui souffrait d’angines linguales à répétition.
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Un cancer du rein est donc une tumeur maligne qui se développe au niveau du rein. Le cancer du rein représente 3 % des cancers de l’adulte. Il est découvert en moyenne à l’âge de 65 ans et est deux fois plus fréquent chez l’homme.Le cancer du rein est la plus fréquente des tumeurs du rein. Il s’agit le plus souvent (environ 80 % des cas) d’un carcinome, appelé aussi carcinome à “cellules claires”.

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Patient Partenaire = co-construire les soins avec l’équipe soignante

Vous êtes ou avez été soigné·e régulièrement au Grand Hôpital de Charleroi et vous souhaitez devenir un vrai partenaire du Grand Hôpital de Charleroi ? Vous faites partie de l’entourage d’un patient qui est ou a été soigné régulièrement au Grand Hôpital de Charleroi?

Alors vous êtes au bon endroit !

Aucune qualification spéciale n’est nécessaire pour devenir patient partenaire. Le plus important est votre expérience de soins en tant que patient ou entourage du patient.

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l s’agit de la tumeur la plus fréquente chez l’homme. Elle est diagnostiquée de façon de plus en plus précoce, à un stade localisé, du fait du dépistage.
Le cancer de la prostate évolue depuis quelques années dans deux sens: sa mortalité diminue mais le nombre de nouveaux cas augmente très vite: cette augmentation est due essentiellement au dépistage précoce. Le cancer de la prostate est responsable de 1% des décès, mais 40% des hommes de plus de 50 ans ont des foyers microscopiques. La grande majorité de ces lésions est associée au vieillissement et évolue très peu.