l s’agit de la tumeur la plus fréquente chez l’homme. Elle est diagnostiquée de façon de plus en plus précoce, à un stade localisé, du fait du dépistage.
Le cancer de la prostate évolue depuis quelques années dans deux sens: sa mortalité diminue mais le nombre de nouveaux cas augmente très vite: cette augmentation est due essentiellement au dépistage précoce. Le cancer de la prostate est responsable de 1% des décès, mais 40% des hommes de plus de 50 ans ont des foyers microscopiques. La grande majorité de ces lésions est associée au vieillissement et évolue très peu.
La prise en charge des formes localisées et métastatiques des cancers de la vessie et des voies urinaires hautes est assurée par les spécialistes du Grand Hôpital de Charleroi. Le cancer de la vessie est le 5e cancer le plus fréquent en Europe. Il touche des hommes dans plus de 8 cas sur 10 et l’âge moyen au moment du diagnostic est de 70 ans.
Une prise en charge spécifique pour s’adapter à des patients fragilisés.
Le cancer du côlon-rectum se situe parmi les cancers les plus fréquents (deuxième cancer chez la femme et troisième chez l’homme). La Belgique fait partie des pays dans lesquels le risque de cancer colorectal est élevé et d’après les estimations, le nombre de cancers colorectaux devrait augmenter dans les prochaines années.
Le projet DigiOneI3 a pour but le développement d'une plateforme interopérable qui permettra d'élargir la recherche en oncologie. Les données en vie réelle (c'est à dire des données ne provenant pas d'études cliniques interventionnelles) seront recueillies et structurées selon un canevas défini appelé 'MEDOC' (MEDOC : Minimal Essential Digital Observation of Cancer) . Cette structuration permettra à différents hôpitaux belges et européens de les utiliser pour travailler ensemble sur un même sujet de recherche.
Le projet QualiFHIR fait suite à un appel à projets du Service Public Fédéral (SPF) Santé Publique dit de 'Data Capabilities'. Il a été sélectionné avec une quinzaine d'autres projets parmi plus de cinquante propositions. Ce projet se fera avec le concours de la Clinique Notre Dame de Grâce de Gosselies et le CHU de Namur. Il est financé par le SPF Santé Publique.
Le projet vise à prédire la fragilité gériatrique, la vulnérabilité sociale et à optimiser les parcours de soins des patients fragiles.